La Bretagne

Le voyage depuis Paris avait était éprouvant pour le vicomte, voyager uniquement de nuit à cause des espions, il n’était pas vraiment habituait à se genre de déplacement, accompagnait d’une douzaine de voleurs ainsi que de Diane ils arrivèrent en territoire ennemie, celui du Désarik, Puis le vicomte se retourna vers Diane d’un air sérieux.

« Nous voici en territoire ennemie chère amie à vous d’agir et de trouver le fils du Désarik, il traine souvent dans les tripots commencer par là en cas de soucie mes voleurs interviendront aussi vite que possible. Prenez le temps qu’il vous faudra, quand à nous nous camperons dans un sous-sol du port, nous avons des associés dans cette région forte heureusement pour nous. »

Le vicomte n'avait aucune idée si Diane allait survivre ou non, les cartes étaient dans ses mains à présent.

Le vicomte n’appréciait guère l’attitude de Diane, cette dernière allez ruiner son plan et cette expédition en Bretagne ne lui aurait était finalement d’aucune utilité. En effet il comprenait le plan de Diane mais se plan était naïf, digne d’une femme (désoler c’est l’époque qui veut sa), Le plan de cette femme était voué à l’échec dans sa quasi-totalité. Drogué le fils du Désarik n’était pas une bonne idée car une fois amnésique comment pourrait-il divulguait une information, de plus le laisser en vie n’aboutirait pas à la guerre nécessaire pour entrer sans trop difficulté dans le repère des lames sanglantes.

«-Messieurs on dit souvent que les bonnes âmes sont parfois inutile.»

Quoiqu’il en soit le vicomte était fermement décider à assassiner sa cible, afin de déclencher la guère de deux guildes rivales, qui lui permettrait d’en récolter les fruits, la main mise sur l’océan était l’un de ses objectifs principal et ce n’était pas une femme qui allez l’en écarter et c’est dans l’ombre que le vicomte et ses hommes attendaient le moment propice pour intervenir au détriment du plan de Diane.

Ceci n’était qu’un test, le vicomte, approuva guère se genre de réflexion dans se genre de situation où la moindre faute pouvait être fatale, ce n’était point un jeu mais une affaire sérieuse.

«-Soit, mais sachez qu’il est dangereux stupide et imprudent de tester une nouvelle méthode en pleine action, mais passons le fils du Désarik et connu pour avoir un tatouage au niveau du cou, plus précisément une cicatrice reçu lors d’une tentative d’assassinat contre lui qui avait échoué, il possède un visage quelque peut cireux et il est constamment en compagnie de deux femmes, à vous d’usée de vos charmes pour l’en défaire, mais je suis sur que vous y parviendrez une si jolie femme comme vous. Il suffit à présent le bon déroulement du plan repose entre vos mains chère Diane vous seul avait les cartes en mains ne l’oubliez pas. »

Et le vicomte et ses hommes se retranchèrent discrètement dans le voile de la nuit.

Le vicomte attendait patiemment dans l’ombre, pendant que les voleurs épiaient les alentours, puis il finit par douter de Diane, sa quête d’une mère disparue ne lui semblait pas clair et il ne savait s’il devait intervenir par lui seul ou bien attendre comme il l’avait prévu. Puis voyant que Diane prenait du temps à revenir il décida d’agir alors et envoya deux voleurs, ces derniers se jetèrent sur le fils du Désarik et le poignardèrent de plusieurs coups, criant du plus fort de possible que cet acte était de la part de la guilde des poignards anonymes tout en prenant soin de jeter les dagues du crime sur le sol, dagues qui d’ailleurs avaient étaient prisent par le vicomte en cas de problèmes éventuelles. Les deux voleurs partirent alors vers la sortie sans réellement se presser et repartir non pas vers le vicomte vers des chevaux eux aussi prévus dans le cas où le plan ne se passerait pas comme prévu.

[[Bon j’ai pris les devants ne sachant pas si tu vas faire une histoire de séduction à cause du texte que tu as laissé. Mais si tu veux je supprime ce texte] jarrive plus a supprimer mes textes c'est embetant

[Je donnes d'abbord RDV au fils du désarik sur le pont,ensuite tu peux le tuer!]

Depuis l’endroit où il se trouvait le vicomte ne pouvait rien voir de concret surtout dans l’obscurité. Il se demandait si Diane allez mener à bien sa mission afin qu’il puisse profitait des immenses possibilités que lui offrirait la mer si la guilde du Désarik venait à tomber, son empire criminel n’aurait qu’était plus grands et l’éventuel possibilité d’entrée dans Versailles comme un grand seigneur riche lui faisait presque saliver. Il attendit un moment avant de voir Diane sortir de l’auberge et qui se dirigeait vers lui et ses hommes, le fait qu’elle revienne entière lui paru rassurant mais avait elle accomplie sa mission ? Le vicomte ne tarde pas alors à lui poser la question.

« -Alors chère Diane avez-vous remplie votre part du contrat ? »

Le visage de Diane semblait dire qu'elle avait réussi, cependant le vicomte voulait l'entendre dire, après tout il n'avait qu'une idée de son succès mais non pas la comfirmation.

Comme prévu Diane avait accompli sa part du contrat du moins c’était ce qu’elle prétendait et ils entrèrent tous dans le carrosse. Le plus étonnant dans cette histoire était qu’elle semblait avoir eu des informations au sujet de sa mère, chose a laquelle le vicomte ne s’attendait point du tout, en partant pour la Bretagne il n’avait à aucun moment imaginait que la mère de Diane puisse s’y trouvait, en réalité il n’en avait que faire mais le fait qu’elle était bel et bien entre les mains du Désarik lui était aussi profitable, une bonne action en quelque sorte, la vie était vraiment bien faite.

« -Ravi de voir que vous ne m’avait point trahi très chère, je m’engage donc à remplir ma part de notre contrat, une fois le fils du Désarik arrivait au port demain nous l’enverrons retrouvait les poissons, quand à ses guetteurs n’ayez crainte, cet homme est connu pour en avoir horreur malgré le fait que son père ordonne une protection rapprochait, dans le pire des cas vous et mes voleurs auraient à vous battre en temps que chef des voleurs de l’ombre je suis connu de mes ennemies et il serait fâcheux pour vous et moi que le Désarik comprenne que nous somme les réel assassins de son fils. Il ne nous reste plus qu’à attendre demain soir neuf heure. »


Le lendemain soir il y avait de l’activité sur le pont les hommes du vicomte préparaient leurs lames la sortie de secours et surtout la protection du vicomte. Une fois neuf heures er le fils du Désarik était bel et bien présent comme prévu, Diane l’attendait comme prévu néanmoins l’homme n’était pas seul, il était avec une escorte de dix homme alors que les hommes du vicomte n’était qu’à sept sans compter Diane. La discussion semblait bien engagées mais le vicomte espérait vivement que Diane trouva un moyen d’écarter ces hommes, car si un combat éclatés il fallait être sur qu’il n’y avait aucun survivant, les hommes du vicomte avaient des dagues des poignards anonymes mais pas leur revêtement et si l’un des gardes parvenait à s’enfuir il avertirait le Désarik de la supercherie.

Diane avait rempli sa part du contrat et le vicomte malgré ce que l'on pouvait penser de lui était un homme de parole lorsqu'il travailler avec des gens sérieux.Le fils du Désarik étant mort il lui suffisait d'attendre la guerre entre les guildes afin d'en récolter les fruits bien juteux notamment,toute la Bretagne et certaine régions côtières avoisinantes.Le vicomte était vraiment un homme chanceux,qui aurait put croire que la mère de cette Diane avait été enlever par le Désarik,comme quoi le hasard faisait vraiment bien les choses parfois.Puis se retournant vers Diane il lui fît signe de partir.

"Ne restons pas ici une seconde de plus,partons vers notre refuge.Nous devons attendre le commencement de la guerre entre les guildes concernés ensuite nous attaquerons le Désarik et vous reprendrait votre mère et moi ce qui me revient comme juste paiement de mon aide,ah et j'oubliai laisser l'arme du crime comme prévu l."

Le vicomte ainsi que ses hommes prirent alors la fuite avant un éventuelle imprévu comme un passant inconscient se trouvant par hasard sur le lieu du crime.