en chemin

Il y avait un moment que le Vicomte avait quitté le lion d'or,le soleil faisait déjà son entrée timide sur les champs de la douce France.Le vicomte erra longtemps sur les routes boueuses,quand tout à coup,il apperçu au loin une charrette avec à bord un seul homme.Au fut et à mesur que la charrette approchait le vicomte chercha dans les alentours de quoi se faire une arme,car l'homme abord de la charette n'était pas un homme frêle,mais un bon gaillard,une vrai bête,un affrontement direct aurait été fatal pour le vicomte,c'est pourquoi il décida de jouait autrement.


"-Bonjours mon brave.Pourrait tu m'enmenés sur un bout de la route,vois tu mes pieds me font atrocements souffrirs,et regarde mes habits,ils ont souffert l'attaque de brigand sur la route qui après m'avoir dépouillé de mon quelque argent,ils m'ont jeter à terre comme le misérable paysans que je suis. et voyageait avec un homme aussi fort que toi me rendrait plus serrein."

Le brave homme fut ému par le discours du vicomte et laissa montait dans sa charrette,ils voyagèrent un moment,jusqu'au moment où le vicomte sotta au cou du brave homme afin de l'étranglait.Il ne fallut pas beaucoups de temps à l'homme pour se défaire de l'étreinte du vicomte qui fut ensuite projetait au sol et s'acharna sur le vicomte qui pendant un moyen que sa dernière était venu.

Il se trouve qu'arriva sur le même morceau de route un autre paysan,et ce dernier vit un homme frêle se faire agressait par une montagne de muscle,le paysan compris alors que le pauvre vicomte était en danger,il sortit alors sa fourche et enfoucha le brave homme en coups sec,qui le fit tomber par terre.Le paysan aida le vicomte à se relevait:

"-Merçi beaucoups mon ami,c'est la divine providence qui vous envoie,(reprenant son souffle)......sans votre intervention..... et sans votre aide,ce brigand m'aurait tuer et se serait enfuie avec ma charette,je vous doit une vie!"

Ainsi le vicomte put alors obtenir une charette et l'acceuil d'un autre paysan,ils firent route ensemble jusqu'au moment où leur route devait alors se séparait.

Le séjour du vicomte à Paris fut terminer,et ce dernier n'était pas mécontent de retrouver son échoppe et ses petites affaires;Néanmoins se court séjour fut malgré cela très instructif pour le vicomte,il est clair qu'il lui aurait était impossible de monter une affaire sans une solide fondation.En effet à Paris même le noble n'était pas à l'abris des bandits et autre voleur de grand chemin.Controller autant de bandit aurait était tout à fait impensable,utile certe mais impensable de part leur nombre et leur rapacité et une nouvelle fois encore le vicomte se sentait minuscule,un pauvre homme vivant d'une échoppe de poterie dans une ville que l'on pourrait confondre avec un petit village campagnards.

"-Qui suis-je donc?Est-ce dont à quoi je dois me contenter,restait un pauvre minable."

Le simple fait de sentir de nouveau inférieur lui fit resentir une douleur qu'il ne pouvait expliquer,mais qui était bien vive.
Tout son voyage se porta sur son destin,il savait qu'il brulerait en enfer pour ses actes,mais il aurait shouaiter connaitre la gloire avant d'y aller.