L'arrière boutique [ouvert]

Les affaires allées un peu mieu pour le vicomte,mais pas suffisament bien,du moin pas comme le vicomte ne l'espérait.Il fallait alors prendre un risque,organisait une petite salle de jeu à l'arrière de son magasin,il lui fallait un peu de matériel,quelques jeux de cartes le reste se ferait tout seul après tout.

Il placa quelques planche de bois décora l'arrière boutique avec quelques poteries et l'affaire était dans le sac,avec un peu de chance et si les nobles s'y présente il y aurait même l'occasion avec le temps d'élargirs sa petite salle jeux,peut-être avec de la plaisante compagnie pour les moins chanceux en amours, ou un lieu de rencontre secret.A présent il ne restait plus qu'à trouver les joueurs,pour cela il fallait faire une observations minutieuse de chaque passants dans les villes,afin de trouvait un client potentiel.Une fois la cible trouvait le vicomte envoyait l'un de ses "braves" annonçer l'ouverture d'une petite salle de jeu flambant neuve avec un côté rustique afin de changer l'ambiance des grandes salles de la capitale.

"-Il y a toujours un ou deux nobles shouaitant après tout découvrir le rustique afin de vivre autrement."

La soirée était bien entammée et la jeune femme furetait encore dans les échopes. Elle aimait la chaleur de ces petites boutiques. Et de plus la solitude lui pesait, alors voir tout ces visages souriant n'était pas pour lui déplaire et remontait son moral qui stagnait, proche du zéro.

Des hommes accostaient les gens dans la rue et Talhi crut entendre les mots "arrière boutique" et " rustique". Curieuse elle s'approcha de la petite échope et entrevit quelques poteries sur les étagères.
Elle y entra, son regard se posant un peu partout. Il y en avait de toutes formes, la jeune femme ne s'interressait pas plus que cela à l'art de la poterie mais il fallait avouer que même pour un amateur c'était du joli travail.
Elle allait repartir lorsque dans son élan elle renversa une cruche qui se brisa sur le sol avec grand fracas. Retenant un juron Talhi s'acroupie au sol et essaya tant bien que mal d'en ramasser les morceaux, mais la poterie était en mille morceaux et elle soupira.
Elle avait le chic pour se mettre dans l'embarras...

L'ouverture de cette petite salle de jeux avait était un second souflle pour les affaires du vicomte en plus du magasin de poterie à l'avant de son échoppe.IL eut même la surprise de voir quelques nobles en quête d'amusement et à la recherche d'une intimité peu ordinaire et le vicomte pouvait compter sur une petite fortune grâce à ses deux commerces et bientot il pourra les améliorés afin d'offrir de la poterie et des jeux de grandes qualités.

Le nouveau venu était devenu un personnage intégré à la société,les gens le connaissaient et ignorants pour la majeure partie des paysans la petite salle de jeux.Il était fier de lui il avait réussi à s'en sortir et avec le temps il finirait par convaincre les marchands du ports de lui céder une part de leur marchandises.Il eut soudainement un fracas à croire que quelque chose s'était brisé sur le sol,le vicomte accouru aussitôt vers l'avant la où se trouvait les poteries,et en effet l'une d'entre elle s'était brisé et à côté la Talhi au si beau regard.

-"Eh bien il semble que la rose sauvage,peut s'avèrait etre une vrai peste végètale,que dis je la plante qui ne reçoit pas de soins malgré son statut de plante sauvage reste une rose inocente chere Talhi,un rien peu la pertubée et l'animal malsain peu mangeait les pétales d'un appétits voraces."

Il eut un sourire,le même qu'il avait eu dans le port

"-Je ne puis que vous pardonnez,néanmoins il va vous falloir travailler pour moi,ce vase qui git sur se sol était l'un de mes plus cher et vous l'avez......comment dire...quelque peu réduit,c'est pourquoi je ne puis me permettre de vous laissez partir si bonnement"

En réalité le vase cassait ne valait pas grands choses,mais le vicomte voulait surtout avoir cette Talhi et son beau regard dans le creux de sa main,pourquoi il ne savait pas,mais qu'importe.Il aurait très bien put jouait au gentil homme après tout mais non les affaires avant tout,les femmes ne sont que secondaire.

"-Bien il est temps pour vous d'apprendre l'art de la poterie chere amie,cet personne va vous montrez comment s'y prendre et vous aurez le droit à votre morceaux de pain comme tout le monde,bien entendu vous n'êtes pas obligé de manger mais il est la récompense de votre labeur,certain pauvre souffre moin de la faim notament grâce à moi."

En disant cela le vicomte espérait bien que Talhi ne mangerait pas son bout de pain afin de lui permettre d'en économisait un peu pour l'entrée éventuelle de nouveaux travailleurs.

La jeune femme eut un triste sourire géné, sa maladresse la désarsonnait. Sa mémoire lui revint enfin et elle reconnut le vicomte. Se relevant rapidement Talhi se mordilla la lèvre et était prête à faire une croix sur les derniers restes d'économie lorsque l'homme lui proposa de travailler pour lui.
La jeune femme ne connaissait rien à la poterie, elle avait travaillé dans une auberge et comme lavandière auprès de sa mère mais jamais plus.
Néamoins l'idée de finir ses journées enfermée ne lui plaisait pas vraiment.

- J'ai quelques économies je pourrais vous payer, quel était le prix de ce vase?

Talhi croisa ses doigts, l'air visiblement mal à l'aise.

Le vicomte eut de nouveau un sourire et regardant Talhi dans le blanc des yeux il lui dit:

"-Très chere vous ne pensez tout de même pas avoir suffisament pour me rembousé mon vase avec votre peu d'économie de paysanne n'est-ce-pas?De plus il serait vraiment regretable d'appellait la garde afin de vous jetée en prison,croyez bien que je ne désire point cela,ni vous je pense.Il serait bien triste de priver une si jolie rose des rayons du soleil et de la rosée du matin,ainsi je vous propose donc de travaillez pour moi pendant les deux prochaine moissons,autrement je n'aurais d'autre choix."

Le vicomte avait à présent un visage bien sérieux,et il était clair qu'il ne laisserait pas cette jeune femme lui glissé entre les mains.

"-J'attends votre réponse à présent soyez résonable et ne m'obligé pas à me déchiré le coeur."

La gêne qui avait empourpré ses traits une minute auparavant disparue. Pour qui se prenait cet homme, on ne lui forçait pas la main ainsi! Talhi n'était pas une femme qu'on tiend par la main, elle était le sable qui s'écoule entre les doigts, la fumée qu'on tente en vain d'attraper. Mais force était d'admettre que pour une fois, elle n'avait pas vraiment le choix!
D'un ton plus hostile, elle se redressa avec candeur:

- Très bien je travaillerais pour vous, dans le seul but de réparer mon erreur dont je suis encore vraiment désolée. Mais deux moissons pas plus!

La jeune femme savait qu'elle n'était pas en décision de force mais le vicomte avait des manières qui l'exaspéraient au plus haut point. D'un pas courroucé elle suivit le jeune homme nommé pour lui apprendre la poterie.

Talhi avait un regards bien plus méchant qu'aupparavant,et il semble même qu'elle n'appréciait guère se genre de manoeuvre,mais qu'importe,le vicomte lui fut satisfait et ne se souciait guère de se ceux que pouvait bien pensée cette paysanne,après tout les affaires sont les affaires.

"-Ravi de constaté que avez le bon choix chere amie!"

Le vicomte qu'en à lui alla s'asseoir afin de se reposé,son repos fut de courte durée car l'un de ses travailleurs tenta de faire du chantage au vicomte en lui disant tout bas

"-Je sais ce que vous faite pour vous enrichir,vous tuez des honnêtes gens et vous récuppérez leur travail sans le moindre effort,donnez moi de l'argent au lieu de pain et je vous garantie que je garderais le silence!"

Il ne manquait plus que sa,un paysan tentant de le faire chanter,et le vicomte lui sourrit au visage.

"-Très bien,il semble que tu es bien plus malin que les autres travailleurs,tiens prend donc c'est dix louis d'or et retourne chez toi."

Le travailleur retourna chez lui avec un grand sourire aux lèvres,quelques minute plus tards des gardes vinrent le rencontrait en compagnie du vicomte.

"-Messieurs emparaient vous de se voleur!"

La foule s'était alors ameutait vers la maison intrigué par le remu ménage,l'homme lui cria de toute ses forces que le vicomte était un homme cupide,sanguinaire,assassin.

"-Brave gens entendez vous se maraud,vous tous ici savez qu'il a obtenu un travail grâce à moi,je l'ai nourri comme les autres travailleurs à mes dépends,j'ai secouru bien des pauvres comme lui,et voila comment se vilain me remerçie,en pillant mon échoppe de poterie me volant ainsi dix louis d'or que voici dans sa bourse!Moi le vicomte de valmont connu de vous tous pour mon intrégrité et mon sens de la charité."

la foule fut ému par se discours,très juste,comment un paysans pouvait avoir dix louis d'or sur lui,cela était impensable et tout le monde cruent au vol,et ce n'est que le lendemain que l'on appris que l'homme fut alors écartelait.

Le soir, Talhi sortait de la boutique lorsqu'elle entendu un murmure. La jeune femme n'était pas connue pour écouter aux portes mais les paroles échangées l'avaient intrigué et c'est une main sur la bouche qu'elle avait écouté la suite.
Quelques heures plus tard elle fut dans la foule ameutée par l'arrestation d'un voleur. Une sourde fureur la prit alors, en plus d'être un parfait menteur, ce vicomte était une personnage malhonnête et mesquine. Poterie cassée ou pas, Talhi n'avait pas l'intention de travailler pour un assassin.
Le lendemain donc, elle ne vint pas et l'échoppe continua sans elle. Cette liberté retrouvée lui procura le plus grand bien et elle se promit de ne plus jamais recroiser cet homme.
Elle avait une chambre à Versailles, le départ était à point nommé et Talhi partit dans la soirée sans plus un regard sur les derniers énènements.

L'histoire du voleur avait fait le tour de la ville,on ne parlait que de sa dans les jours qui suivent,le vicomte quand à lui était bien content d'avoir donné une leçon au petit malin,pourtant un autre désagrément vint perturbait se moment.Le lendemain la dénomée Talhi n'était venu travailler,aucune trace de son passage.

"-Eh bien il semble que la confiance n'est plus de monde en diré."

Il eut un grand rire qui résona dans l'échoppe

"-Quel idée aussi de ma part de croire qu'une femme a de l'honneur,vraiment je me sens bête,mais qu'importe,les femmes reste femmes comme on dit."

Et le vicomte reparti vers ses affaires.

[espèce de michant ^^! Tu veux faire un autre sujet?]

Il y avait de nouveau de l'agitation dans la ville,en effet il semblait qu'un grands seigneurs venant de Hollande était arrivé avec sa garde,on disait de son cheval qu'il était si beau,qu'il faisait rayonnait la lueur des rayons du soleil sur son splendide pelage blanc.Cette nouvel ne réjouissait guère le vicomte qui par dessus toute les choses vivante de se monde détestait les hollandais,avec la facheuse habitude de les traités de "****perie d'hollandais de mes***eux".

Il les détestait tout simplement,mais il détesta encore plus se grands seigneur lorsque se dernier arriva devant son échoppe avec son cheval magnifique et lui avec son air hautain de grand seigneur,on disait que le seigneur Van Deurdentdur avait un grand domaine non loin de la ville.

"- "****perie d'hollandais de mes***eux.Que peut-il bien faire ici cette ****perie d'hollandais de mes***eux"."

Le vicomte rentra alors dans son échoppe pour réfléchir,il lui fallu alors cinqs petite minute pour préparé un plan des plus ignoble envers se seigneur hollandais.Il lui fallait pour cette fois l'aide de vrai bandit,un pauvre affamé ne suffirait pas pour accomplir son plan.Le vicomte parti alors à la recherche de brigand et après de longue recherche en ville il tomba sur deux frères roc et gravillion.

"-Messieurs je vais avoir besoin de votre aide,naturellement chaque service mérite un récompense bien gagné n'est-ce pas?
-Nous pouvons brisés un bras et une jambe pour seulement quelques piècettes
-Magnifique! Alors voici ce que j'attend que vous fassiez pour moi..............................................................................................................

Les deux frères furent quelques peu surpris et faillirent même refusait le travail,juste avant que le vicomte leur lança une bourse pleine de pièces de cuivres.

La nuit arriva et les deux frères se mirent alors au travail,ce n'est que le lendemain au petit matin que l'on entendait des hurlements et des cris de douleur dans le domaine du seigneur Van Deurdentdure,qui eut l'horrible surprise de voir la tête de son splendide cheval enroulait dans un drap juste posait sur l'extremité de son lit.