Logement

Maintenat que le Vicomte avait prit une ampleur presque sans précédent,il lui arrivait de trouvait des gens venant lui demander des petits services divers.Aujourd'hui une vieille femme vint voir le vicomte afin de lui demander de l'aide pour l'aider à payer son logement dans une minuscule résidence,la vieille femme vivait des affaires d'un des voleurs du vicomte mais ce dernier était mort au court d'une guerre entre guilde et la femme ne pouvait plus payés son loyer de cinqs pièce de bronze,de plus son employeur ne voulait plus du chien qu'elle avait.

"-Mais que puis-je faire pour vous au juste?
-Il faut que vous m'aidez à convaincre mon propriètaire.
-Qui est-ce?
-Mr Duprès.
-Bien je vais parlementer avec ce Mr Duprès."

Le vicomte se lança alors à la recherche de ce monsieur Duprès quii par chance se trouvait non loin de la résidence.

"Mr Duprès je présume?
-c'est bien cela que puis-je pour vous?
-Eh bien......je viens de la part d'une de vos locataire que vous voulez expulser avec son chien....et il se trouve que je suis venu payer son loyer.
-vous arrivez trop tard cher monsieur j'ai déjà trouvait une personne pour la résidence et qui me paye mieux que cette dame.
-Combien au juste?
-8 pièces de bronze.
-Eh bien en voici 10...surtout ne lui dite rien,elle à sa fierté..et elle garde le chien.
-Mais je l'ai déjà vendu désolé reprenait votre argent cher monsieur.
-Ecouter vous et moi sommes des personnes censées gardez l'argent.
-mais qui êtes vous?Pourqui vous prenez voous à la fin?
-je suis le Vicomte de Valmont demander aux voisinage qui je suis et garder l'argent."

Le Vicomte s'éclipsa alors pour repartir dans sa guilde.Il fallu attendre l'après-midi pour voir arrivé Mr Duprès couvert de sueur.

"-Cet homme à fait quasiment le tour de Paris pour questionait la plus part des gens chef(rire).
-Oh! Quel mésantente mon cher Vicomte,je suis venu vous rendre votre argent et bien entendu cette femme peut restait!
-avec son chien?
-avec son chien!
-......................
-même je baisserais son loyer de 4 pièces de bronze!
-.........(regardant l'un de ses voleurs à ses côtés)
-2 pièces! 2 pièces de bronze!
-très bien marché conclu!
-Après tout mon cher vicomte,l'argent se n'est rien!Sa ne compte pas!

L'homme se précipita alors pour sortir de l'auberge des cinqs choppes en prenant bien soin de ne pas se retournait.

Le vicomte se prélassait sur sa chaise en compagnie de deux de ses voleurs et le calme régner au cinq choppes. Un homme entra et le vicomte ne prêta guère attention à lui, il comprit que l’homme voulait une chambre et qu’il payait d’avance, il n’y avait donc pas de quoi faire du bruit quand l’argent entre les mains du vicomte. Puis ce bon vieux aubergiste que l’on appelait Willy la tricote eut un élan de stupéfaction qui ne passa pas inaperçu. Le vicomte s’interrogea alors sur l’identité de cet homme et envoya alors un voleur pour regardait tout sa de plus près.

« -C’est une femme chef.
-Ah vraiment. »

Le vicomte était belle et bien surpris et surtout inquiet, les femmes des cinq choppes sont souvent de filles de joies et non pas des Dames ou damoiselles. Que faisait-elle ici il ne le savait pas, mais elle pouvait très bien être un assassin envoyait par une guilde rivale pour le tuer, ou bien il s’agissait d’un inconsciente tout simplement. Lorsque la cape de la jeune femme tomba, elle laissa apparaître les traits d’un visage tout à fait magnifique, mais avec un regard qui avait connu bien des tumultes en diraient. Puis il se souvint de l’avoir déjà rencontrait quelque part et fini par se souvenir. Il s’agissait de la femme qui l’avait fait souffrir d’un refus de danser avec une désinvolture total, maintenant il s’en souvenait très bien et décida de s’avançait au comptoir.

« -Bonjours gente Dame, il me semble que nos chemin se soient déjà croisaient n’est-ce pas ? Oh ! Mais j’oublie les bonnes manières, je suis le Vicomte Vladisnate de Valmont, propriétaire de cette auberge, y aurait-il quelques chose que je puisse faire pour vous être agréable gente…….comment vous appelez vous au juste chère amie ?"

La jeune femme s’excusa de son attitude lors de cette fête paysanne, ceci n’était pas très important pour vrai membre de la noblesse, mais le vicomte n’en faisait pas réellement partie, Ainsi cette femme s’appelait donc Diane de Poitiers, cela était intéressant à savoir, mais il se méfier toujours d’elle, le fait qu’elle était occupée par une affaire ne lui présager rien de bon. Chez les voleurs une affaire égale un meurtre, de plus que pourquoi était elle là ? Tant de questions qui devenaient trop envahissantes à ses yeux.


«]-Eh bien charmante Diane y a-t-il quelque chose que puisse faire ? Cependant pardonnez ma question indiscrète mais que venait vous faire dans un tel endroit, une femme aussi belle que vous, je dois vous avouez que cela m’intrigue énormément. Les gens que l’on trouve ici son souvent des ivrogne désabusés par la société ce qui ne semble pas être votre cas n’est-ce pas ? »

Le vicomte cherchait à en savoir plus sur cette Diane de Poitiers, le fait qu’elle soit armée ne fit qu’accroitre son jugement d’un éventuelle assassin payait par une guilde rivale afin de le tuer, ou peut-être une femme en recherche d’aventure, car les cinq choppes était connu aussi pour des affaires pour les gens en quêtes d’aventure, il y avait toujours quelques personnes qui proposait leur service pour une affaire quelconque.

Cette Diane de Poitiers prétendait agir d’elle-même et ceci ne rassura guère plus le vicomte. En effet si l’on pense comme pourrait penser l’ennemi alors tout est possible. Cette femme l’intriguait vraiment, et quelle sorte d’information cherchait-elle au juste.

« -Naturellement asseyez vous je vous prie, cependant pardonnez moi cette question mais pourquoi venir vers moi ? Je ne vous connais nullement et qui plus est je doute de pouvoir répondre à vos questions, ceci dit si je puis y répondre je le ferais. »

Les gens de la cours des miracles connaissaient bien le vicomte et surtout ses affaires, il n’était donc pas impossible que Diane se soit renseigner auprès d’eux. Pourtant le vicomte restait toujours stoïque tout en réfléchissant, elle venait pour quelque chose mais peut-être aussi pour quelqu’un, disait-elle la vérité il ne pouvait le savoir clairement, mais il fut rassurait de voir la présence d’aucune orange dans les alentours de l’auberges, il avait même interdit la présence de ces fruits dans ses établissements et regardant la jeune femme dans les yeux il lui dit :

« -quel est donc cette question très chère ? »

Le vicomte fut quelque peut soulager de savoir que Diane était préoccupée par une histoire familial, que par la vie du vicomte. Il prit une grande inspiration réfléchie, une égyptienne morte, cela ne faisait guère partie de ses affaires, ce n’était pas son genre de s’en prendre aux femmes, et il ne voyait pas pourquoi il aiderait cette femme, ses affaires propres n’étant pas concernés.

« Navré chère amie, je n’ai aucune information sur se sujet, tout ce que je sais…c’est qu’une guilde rivale engage des pirates pour faire fructifier leur affaires. Cette guilde s’appelle les lames sanglantes, connu pour ses prises d’otages et ses nombreux meurtres, c’est même à cause de se genre de guilde que nous sommes mal vu ici à la cours des miracles. Je sais que leur repère principal ce trouve sur les côtes de la Bretagne. Peut-être y trouverait-vous votre mère là-bas. »

Le vicomte voulait en réalité éliminer une guilde rivale avec l’aide de cette femme pour prendre le contrôle des côtes bretonnes.

« -Je ne suis pas sur que votre mère s’y trouve, néanmoins je suis prêt à vous aidé et à fournir des hommes mains pour renverser les lames sanglantes mais sachez que cela ne sera pas facile, de plus si nous tuons Désarik leur chef nous devrons fuir la France pour un moment à cause des représailles, toutes les guildes ont leur espions dans toute le pays. Alors qu’en dite vous chère Diane" ?

Le ton de la jeune femme semblait être des plus suppliants et le vicomte malgré son tempérament ne supportait guère de voir une femme dans un tel état de désespoir, mais c’était un homme d’affaire après tout la cause de cette femme ne touchait pas à ses intérêts, mais son l’envie de Diane pour sa mère était-elle qu’il pensa qu’elle aurait put faire n’importe quoi.

« Votre geste est très noble et à la fois louable pour une femme, cependant il est remplie de folie, pensez vous vraiment pouvoir vaincre une guilde avec seulement sept hommes, même mes meilleurs voleurs ne le pourraient. Je ne doute nullement de votre bravoure, mais fonçait ainsi tête baisser vous conduira à la mort et votre quête aura était veine chère amie. Je vous prie de me croire, il y aurait sinon sa fort longtemps que nous nous serions débarrasser d’elle, moi qui suis le chef d’une des guildes les plus puissantes de Paris, tout les quartiers généraux sont terriblement bien protégés. »
Le vicomte repris une grande inspiration puis dit :


[color:19cf=white]"-Je peux vous aidez dans votre quête mais il va falloir me faire confiance, vous voulez retrouver votre mère et moi je veux me débarrasser d’un ennemie qui nous est commun,sachez que je ne laisserait point une aussi belle femme allez vers une mort certaine...... faisons affaire, grâce à mon aide vous pourrait explorer chaque recoins de leur guilde entourer de l’odeur des cadavres de ses membres qu’en dite vous ? »

Les paroles de Diane avaient mérite d’être très clairs, le vicomte ne savait nullement si elle trouverait sa mère chez les lames sanglantes mais qu’importe elle acceptait le marché et cela était plus important aux yeux du vicomte.

« -Magnifique ! Nous allons vers un danger certains certes mais nous pouvons déjà sentir le goût de la victoire dans notre bouche. Alors voici mon plan chère amie, le fils du Désarik est un homme qui ne résiste nullement au charme d’une femme, les gens disent qu’il traine souvent dans les tripots en compagnie de centaine de femmes, si vous arrivait à séduire cette homme alors mes hommes pourront l’assassiner, une fois que vous lui aurait donner rendez-vous au alentours du port, mes voleurs et moi-même camouflerons le crime de sorte faire croire au Désarik que son fils a été assassiné par la guilde des poignards de anonymes en laissant une de leur lames au sol. De se fait le Désarik lancera une guerre sanglante contre l’autre guilde, cela lui coutera énormément d’argent et c’est à se moment de faiblesse que nous attaquerons. »

Le plan du Vicomte pouvait marcher à merveille, à condition que Diane remplisse sa part du contrat.

« -Ce plan pourrait nous éviter bien des combats inutiles, mais il dépendra de votre entière collaboration après tout comment avez dit cela……Pour ce qui est pour la confiance,vous le savez bien,je vous fais confiance,et j'en attends de même pour vous.Mais comme le dit un proverbe:"Tes alliés sont tes ennemis et peuvent te frapper dans le dos. Ceci dit je vous retrouverait se soir n'ayez crainte".


[tu compte retrouver ta mère ou embêter un peu plus le vicomte]

[Les deux je pense!]