Arriver à Paris [ libre ]

[Pardon si je m'incruste!]

Elisabeth soupira.
Puis son ton de voix changea.
Elle releva sa robe.

"Cela vous regarde ?!"

Pour qui elle se prennait !
Elisabeth n'avaiut pas forcement envie de parler de ses amours !
et puis justement elle voulait oublié Will !
Car elle savait que maintenant elle ne le reverait jamais !
Elle preferait refaire sa vie avec un homme de sa "race".
Non ce n'est pas elle qui le voulait, mais plutot son peuple ...
Il fallait quelle remplisse son devoir de futur reine ...
Elle regarda les deux personnes devant elle avec un regard foudroyeur puis s'appreta à partir furieuse !

Elisabeth été enervé ! même très enervée.
Pourtant Diane n'avait rien à ce repproché.
La demoiselle s'emportait vite.
Yann la prit par le poignet, puis il lui dit que le medaillons n'était pas à ça place auprès d'elle.
Elle fixa l'homme devant elle dans les yeux puis continua d'un ton plus calme mais toujours enervé.

"Il n'en est pas question ! ce médaillon est beaucoup pour moi !"

Puis elle jeta uin regard vers Diane qui ne disait rien pour le moment.

Elisabeth sourit, toujours le regard poser sur son medaillons elle murmura " oui biensur ....".
Un sourit c'était dessiné sur le visage de la jeune femme.
Diane avait bien parler.
Tout de façon Elisabeth n'aurait et ne donnera jamais son médailllon pour rien au monde, même pas pour la plus grosse somme.
Il lui rapellait sa premiere rencontre avec Will.
de plus elle savait qu'elle n'allait plus jamais le revoir !

Diane avait essayer de rattraper le capitaine qui avait décidé de partir. Elle dit donc à Elisatebh de venir.
Mais la jeune femme la stoppa.

-Je ne crois pas qu'on devraitn continuer de parler de ça !
Rentrons chez nous et oublions ...

Si Diane avait quelques chose à lui dire, et bien qu'elle y aille.
Elisabeth elle, refusait completement.
Elle commençait à avoir peur que quelqu'un les voye.
Car c'était dangereux de se meler à la foule ....

Après l'agitation que le vicomte avait produite,ce dernier décida alors de se faire quelques peut oublier en allant faire un tour à la capitale.Son voyage dura quatre jours et quatre nuits à dos de cheval,cheval qu'il avait d'ailleur voler à un robuste paysan,lorsqu'il était sorti de la fête paysane.Il se souvenait aussi qu'il avait failli mourir sans l'intervention d'un paysan qui croyait bien faire en tuant le robuste gaillard d'un coup de fourche qui était pourtant la vrai victime.
Il arriva dans la capitale vers le début d'après-midi,il était quelque peu douleureux pour lui de laisser son échoppe et sa salle de jeux fermés pendant son séjour de trois jours.La première chose qu'il voulu voir dans la capitale c'était le théâtre,il en avait entendu parlait en mal quand il était encore dans les ordres,et c'est justement pour cela qu'il shouaitait y aller.Il fallu attendre la fin d'après midi,et le vicomte tomba sur la troupe d'un certain molière qui jouait une pièce nomait Dom Juan dans une allée de la rue.
La pièce fut très interresente jusqu'au moment où des membres du clergés se firent leur apparition déclanchant un énorme scandale à propos de cette pièce qu'ils jugeaient eux même impie.Ainsi le vicomte ne put savoir si le pauvre allez céder à la tentation de dom juan,mettant le vicomte dans un mécontentement total.

"***peri de clergés de quoi se mêlent-il!"

Le vicomte eut tellement de jurons de toutes sortes en tête à un point que l'on aurait pu faire "un chapitre à en durer jusqu'au soir".Il continua alors sa visite de Paris toujours à la recherche d'une troupe ambulante,se refusant d'entrée dans les grands théâtres à cause de leur prix exhorbitant.En réalité il avait tout à fait les finances pour allez dans les grandes salles de théâtre,cependant son avarice prit un net avantage qui devint inébranlable.
Paris était vraiment une très belle ville,la plus belle de toute aux yeux du vicomte qui en réalité ne voyait que les somptueux domaines et non les pauvres gisant sur le parvi des églises mourant de faim,mais qu'importe,le vicomte se voyait déja projeter dans un univers remplie de toute sorte de luxes et de prestiges auquel lui aussi un jour aura droit.

Aujourd'hui le vicomte devait rendre visite à un marchand qui ne voulait pas signer le pacte des voleurs de l'Ombre,et il advenait au vicomte de forçait se marchand à céder sans le tuer.Se marchand était un solide mentalement il lui fallait donc trouver un autre remède.

"Pour faire tomber un arbre il faut toucher la bonne racine."

Accompagnait de deux autre voleurs,ils partirent alors à la rencontre du marchand.

"Bonjours monsieur le marchand nous sommes venus vous faire une offre.-Je sais ce que vous venez faire disparaissait!
-Il y à des gens têtus défois vraiment."

Ils sautèrent alors sur le machand le ligotère et couru a toute jambe avec ce dernier.Il arrivère vers un trou creusé avec l'allure d'une tombe,une fois le marchand libéré le vicomte le poussa au fond de la fausse prit sa pelle et commença à rebouchez le trou.

"-S'il vous plait épargner moi je le signerait votre pacte promis!!!
-trop tard mon cher ami!"

Puis le vicomte frappa la tête de l'homme avec sa pelle qui s'évanouie sur le coup.

"-je crois qu'il a eu son compte rentrons!"

ils repartirent alors vers leur repaire sans boucher la fausse.

C’est avec des petits pas timide que Vito marchait dans les rues de Paris, il se sentait très mal à l’aise, en réalité il avait mal. Chaque jours il pensait à sa Sicile qu’il aimait temps, tous en pensant à sa famille, se douloureux souvenir de son pays en flamme le faisait souffrir mais il voulait y retourner, ressentir les parfums unique et les chansons italienne qui avait marquaient son enfance. Le fait qu’il était seul dans un nouveau pays lui faisait peur mais il devait affronter sa nouvelle vit, lui aristocrate de naissance ayant tout perdus. Il avait par chance trouvait un petit travail comme livreur d’oranges, en réalité il était chargé de transporter des centaines de caisses de fruits pour un riche marchand et la plus du temps il s’agissait d’oranges. Il n’était pas fait pour cette tâche, mais son orgueil sicilien le poussait à résister face à l’adversité, il avait connu les attentats mouvementés dans son pays et son travail était pour sur moins effroyable. Il ne savait pas cependant que Paris renfermait de grands bandits, lui se contentait de ne rien dire tout en pensant à sa terre natale.