Rencontres

Aussi étonnat que cela puisse paraitre aux yeux de certaine bonnes gens,les ports ne sont pas que des lieux où les grands marchants et autre racaille de pirate font leur apparitions.Les ports sont une mines d'informations et de rencontres,en effet c'est dans se genre d'endroit où l'on peu trouvait de tout hormis ou du moin presque tout.

Le Vicomte était à la recherche de marchants transportants de quoi lui permettre d'améliorer l'esthétique de ses poteries.Néanmoins pas question de jouer dangeureusement ici surtout pas,les gardes présent faisaient leur ronde autours du quai,tenter de soumettre un marchant par la force,n'était pas la meilleur des idées,de plus le Vicomte n'avait presque plus d'argent,cet argent qui lui manquait cruellement,sans lui inutile de continuait,malgré la présences des nouveaux pauvres la qualités des potteries n'étaient pas suffisante pour la haute société,et sans finance il est impossible de réussir quoique se soit.
Et pour la première fois le Vicomte se sentait impuissant,totalement impuissant même,aucune idée ne lui venait à l'esprit absolument rien.

Quel sort cruel de se retrouvait brusquement au bas de l'échelle.

Talhi descendait la ruelle menant au port. Elle aimait s'y rendre rien que pour apercevoir la mer et son immensité bleue. Vêtue d'un simple robe de coton grossier elle portait un panier d'osier au bras. Ses cheveux regroupés en un semblant de chignon elle inspectait du regard les différentes échopes à la lisière du port. Les marins venaient de revenir de leur pêche et celle-ci semblait bonne.
La jeune femme aimait cette environnement simple et joyeux elle s'engagea sur la parcelle du port n'allant pas plus loin que la limite autorisé.
Son amie allait se fiancer à un marin, un capitaine corsaire pour être plus précise. Ils étaient partis il a peu pour un voyage et Talhi les envia, elle qui ne connaissait de la mer que cet horizon tranquille.
Talhi effleura sa gorge et ses doigts se déposèrent sur le collier qu'Angélique portait identique. Elles l'avaient eu toutes les deux étant petites et leur similitude n'avait fait que les rapprocher un peu plus. La jeune femme sourit à cette pensée et son regard bleu foncé se porta sur les flots et même au delà.

Le vicomte restait toujours sur son échec,les ports et les marchants étaient trop bien surveillés,il avait un voyage pour rien,et cette simple idée lui fit ressentir un excès de fureur.

"-Il n'y a rien de pire que perdre son temps dans se monde!"

Il rebroussa chemin et remonta le petit escalier qui séparait la ville du port,cependant en montant les marches,il aperçu une jeune femme,mais une jeune femme qu'il avait déja vu,où il ne s'en souvennait plus exactement,sa mémoire en avait pris un coup depuis le lion d'or,il ne tenait plus très bien le vin on diré.

"-Comment ai-je put oublier le lieu où j'ai rencontré cette gente dame!"

Il retourna sur ses pieds et s'avança vers la jeune femme,elle avait l'air fasciné par la mer,ou bien il se pouvait qu'elle attendait quelqu'un tout simplement.

"-Bien le bonjours gente dame,votre regard si beau me laisse pensé que vous êtes dans une sorte de monde entre ciel et mer,de plus votre regard si pur et à la fois malin me fait voir une nymphe,que dis-je aphrodite sortie du bain.Il me semble pourtant vous avoir déjà vu,néanmois je me trouve incapable de dire où,pardonnez mon manque de mémoire très chere......OH!Voila que j'oublie les bonnes manières je présente,je suis le Vicomte de Valmont à votre service."

Le vicomte fit alors une salutation qu'il avait apprit lors des cours de bienséance à l'ordre religieux du Saint-Coeur-Radieux dont il brûla le lieu avant de prendre la fuite.faisant son baise main le vicomte regarda de nouveau la jeune femme et lui:

"-Quel est donc le nom d'une si belle demoiselle,et si peu vous être agréable en quoique se soit je le ferais avec joie."

Les coudes posés sur la rembardes, Talhi ressentait la brise iodé du vent. Le regard de ce même bleu océan lui manquait. Elle soupira, sa tête contre sa paume lorsqu'un homme l'accosta avec une grande politesse. Ces paroles la firent sourire et elle fit également une révérance bien qu'on en fasse pas grand cas en dehors de Versailles. A le regarder plus en détail elle se souvain de l'ivrogne de la fête et eut un léger recul. Il ne semblait pas méchant, plutôt joviale et charmeur mais la jeune femme se méfiait des hommes depuis son enlèvement. Elle eut un sourire amusé et lui répondit courtoisement:

- Nous nous sommes vus à la fête d'Antoise, à l'auberge. Heureuse de vous rencontrez de nouveau monsieur de Valmont.

Lorsqu'il lui demanda son nom elle répondit simplement:

- Talhi...

C'était un prénom court et sans vrai beauté. La jeune femme repora de nouveau son regard sur l'horizon, une pointe de tristesse dans la voix:

- Ne vous embêtez pas d'une si grande politesse à mon égard, après tout je ne suis qu'une simple courtisanne, une paysanne...rien de plus.

Maintenant qu'il avait parlé à cette Talhi,il se rappela de cette fête paysanne,il se rappella même de sa sortie précose à cause de deux grands gaillards.

"-Oh vous avez raison,il se trouve que je n'était pas moi même en se jour,même le plus brave d'entre nous peu devenir autre quand il boit trop.Il se peu que je vous ai fait peur par inadvertance et je m'en excuse,sachez que cela n'était pas dans mes intentions gente Talhi."

La jeune femme retourna ses yeux vert le bleu de l'océan et pria le vicomte de ne pas gaspiller tant de language à son égard,elle qui n'est qu'une simple paysane.

"-Fit-donc gente Talhi,chaque beautés sur la terre se doit d'être honorées comme elles le méritent,la rose est une fleur très belle mais les rayons du soleil ne la rend que plus belle et plus étincellante,voyons cela me ferait de la peine de ne pas ajouté un peu de lumière à une fleur si belle."

Puis le vicomte scruta l'horizon à son tour,puis il eut un soupir

"-Que pensez vous de l'océan? Est-ce un monde qui vous fascine?Je dois dire que ce monde est magnifique,mais il est aussi terrifiant,les tempêtes,les monstres marrains......les pirates aussi,un bleu si calme et si pure cache un vice de terreur pour les enfants de la terre ferme,méfiez vous de l'eau qui dort très chere,si nous vivons sur la terre ce n'est pas rien!"

Le vicomte en réalité ne faisait que redire ce qu'il avait appris sur les océans quand il était dans les ordres,lui même était un peu attiré par l'océan mais il lui restait aussi quelque supersticion de paysan croyant tout et n'importe quoi.

"Ah! Que dire de plus quand l'on se trouve entouré de temps de beauté en un seul et unique lieu."

Le vicomte était un homme d'une compagnie à toute épreuve, il avait fait oublié le tracas de la vie à Talhi et celle-ci retrouvait enfin sa gaieté et son insouciance d'antan. Elle rit gentiment aux paroles de l'homme et lui répondit sur un ton moqueur:

- Si vous me considérez comme l'une de ces beautés terrestres il va vous falloir du temps et de la patience, ce ne sont pas les belles femmes qui manque ici bas.

Elle lui sourit et écouta attentivement son discours. Oui l'océan était attrayant et effrayant à la fois. Pour Talhi il représentait bien plus qu'une immensité d'eau, il avait un nom, un regard, et ses sentiments qui s'y accrochaient.

- Que serait la vie sans la peur, elle forge nos esprits. Mais je suis clouée à cette berge, comme un navire ammaré à son port, je ne partirais jamais, ce n'est qu'un rêve, qu'un désir fou.

Talhi resta pensive, des rêves, on en a plein la tête étant gamin, mais ceux de la jeune femme ne s'était jamais tarie. Elle avait toujours été très dynamique et disait toujours ce qu'elle pensait. Mais en cet instant ses forces la quittaient, elle se sentait seule et une douce mélancolie s'était emparée d'elle.

A ses derniers mots Talhi sourit de plus belle et envoya une légère bourrade au vicomte:

- Combien de femmes avez-vous déjà pris dans vos filets avec des discours identiques!

Le Vicomte eu un grands sourire en écoutant les réponses de Talhi et il lui renvoya alors le même sourire:

"-Pas autant que vous avec votre regard qui pourrait blesser n'importe quel homme,cependant vous dite vrai,il ya bien de jolies femmes dans se monde,hors pour qu'une plante soit belle et épanouie,il lui faut certe du soleil,mais il lui faudra aussi à son planteur du temps,de la patience et de l'affection,même la plus belle de toute les roses se fane si l'on ne s'en occupe point et si l'on n'en à point ma patience de la rendre encore plus belle."

Mais le vicomte pouvait percevoir très légèrement un soupçon d'ironie,une ironie tellement justifiable et tellement belle en même temps.

"-Voyez-vous trops de roses pour un seul jardinier,n'est pas toujours plaisant."

Il eut de nouveau un sourire

"-Ainsi l'amant ce matin voulu rapporter des roses,mais il en avait tellement pris dans ses ceinture closes,que les noeuds trop serrés n'ont pu les contenir.Les noeuds ayants éclatés,les roses se sont envolées,dans levent,à la mer s'en sont toutes allées suivant l'eau triste de la mer pour ne plus revenir,faisant apparaitre les vagues d'un rouge enflammée."

S'arrêtant un instant afin de respirait de l'air marin,puis reprenant :

"Je sais guère si ce que je vous ais dit vous rassure de ma personne,néanmoins je regrette de ne pas pouvoir réalisé votre rêve de voyage en mer,malgré mon rang de vicomte je reste un noble désargenté,donc sans pouvoir,au final nous ne somme pas si différents vous et moi,malgré mon rang je ne puis accédait aux hauteurs de versaille comme vous,et il m'arrive même de travaillait dans mon commerce de poterie,je suis un noble qui travail comme vous pour survivre cela et inhabituel,un noble travaillait."

Il n'y avait pas besoin d'en dire plus les nobles ne travailles pas certes mais le vicomte n'en était pas un.

La jeune femme avait déjà eu quelques aventures, et en vivait encore une en ce moment même. Et si Talhi était une rose elle manquait d'amour et de protection, elle releva la tête, une moue moqueuse aux lèvres:

- Une fleur sauvage n'a pas besoin de jardinier pour s'épanouir monsieur, elle vit de liberté et de soleil, de la rosée du matin et des doux rayons du soleil.

Talhi joua distrètement avec une boucle de ses cheveux, le Vicomte était un homme plaisant et son côté charmeur lui plaisait. Mais une de ses qualités était la fidélité, et tant qu'il aurait besoin d'elle, la jeune femme resterait. Ses occupations l'accaparaient pour l'instant, peut-être qu'il aurait ensuite plus de temps pour s'attendrir encore de sa petite fleur oubliée.
Talhi soupira, penser à lui la faisait souffrir et son estomac se nouait à chacun des souvenirs que sa mémoire évoquait. Elle revint au moment présent:

- Vous n'avez pas à regretter, il est des rêves qui doivent rester rêves. Et rassurez-vous, vous m'êtes un homme très simpathique, même si vous me prenez pour une femme facile, les roses sont souvent couvertes d'épines.

Elle eut un sourire en coin avant de s'arracher au spectacle du port. Elle remonta les marches du ponton. Se retournant pour faire face au jeune homme:

- J'ai des courses à faire, je vous laisse...

Elle allait partir mais fit volte-face et redescendit rapidement les escaliers, elle posa doucement sa main sur l'épaule du noble:

- ...si vous avez besoin de quoi que ce soit, parler ou d'un coup de main, je ne serais jamais loin.

Elle lui fit un clin d'oeil malicieux avant de remonter la volée de marches et de disparaitre dans la foule du marché.

La jeune s'en retourna,aller t-elle vraiment faire des courses,quel importance après tout,le vicomte savait à présent,qu'il lui faudra luter,pour se coeur à prendre.Un amour sans résistance n'a pas de mérite,plus la résistance et forte et plus le mérite augmente.

"-Une rose parsemée d'épine hum...voila qui est intérressant."

Mais le vicomte s'arrêta brusquement,pour replonger dans ses soucis finançiers,il avait perdu un peu de son temp en jouant au cabot,mais cela était plus fort que lui,malgré le fait les affaires primes pour cet homme,il lui arrivait parfois de s'adonnait aux conquêtes,savoir céder,se montrer ferme,les bienséance tout un art de la mise en scène afin d'enlever petit à petit les barrières de résistance.

Talhi n'avait pas vraiment eu l'intention de faire des amplettes. Elle flâna juste un peu dans les échopes, mais la jeune femme n'avait besoin de rien. Elle irais sans doute faire un tour en forêt. Elle s'y sentait tellement bien. Et puis il y avait Loup...il ne la quitterait jamais et à sa seule pensée son coeur s'apaisa. Elle se souvint lorsqu'elle avait retrouvé le louveteau, et quel animal il était aujourd'hui. Un sourire tranquille s'installa sur ses lèvres et elle remonta l'allée du port en direction de la forêt.

[désolée j'ai fait un truc tout petit tout moche]

Aujourd'hui le vicomte prit de nouveau le chemin du port avec une bourse un peu moin légère que la dernière fois,certe ce n'était pas suffisant pour s'acheter des matériaux précieux mais cette fois si le vicomte avait une idée,affreuse certe mais une idée.Le vicomte alla en direction d'un marchand avec une belle échoppe un homme plutôt riche,certe il ne s'agissait pas de c'est richissimes marchands,mais d'un marchand d'importance moyenne.

"-Bonjours chère monsieur belle journée n'est-ce-pas?"

Le marchand lui répondit avec un sourire,mais il s'agissait d'un sourire d'affaire rien de plus.En général ce genre de marchand ne fonctionne qu'avec le son des pièces d'or rien dd plus.

"-J'ai en ma possession plusieurs piècettes et il se trouve que votre marchandise m'intéresse,néanmoins je suppose que vous comprenez que tout mon argent ne se trouve pas sur moi,c'est pourquoi je vous propose de vous payez une partie de votre marchandise et de venir avec moi à mon échoppe pour vous payez la suite."

Le marchant accepta l'offre du vicomte avec une avidité si vorace,qu'il ne se doutait pas un seul instant de ce que lui réservait on acheteur.Le vicomte se mit à aidé le marchand à remballé toute sa marchandise et tout deux partirent pour l'échoppde poterie du vicomte.Une fois arrivé ils allèrent à l'arrière boutique,en réalité ils allèrent dans une impasse toujours à l'arrière de la boutique.Le vicomte sauta alors sur le marchand désemparé et l'assoma avec un baton spécialement préparé pour son plan.Il ligota alors le pauvre marchant le baillona puis le posa dans sa propre charette,attendant la nuit pour aller jetait le corps dans les eaux du ports.De retour chez lui le vicomte avait de nouveaux matériaux pour ses poteries et il en profita aussi pour redécorer l'avant de l'échoppe avec quelques jolies draps.

"-Cette Talhi pourrait bien redécoré mon échope après tout."

Il était inutile de dire que le vicomte avait prit soin de récupéré sa bourse sur le corps du malheureux marchand.

Après la disparition de Talhi,le vicomte décida alors de repartir vers le port,se port était pour lui une mine de richesse qu'il fallait savoir exploitait,en effet on y trouve de tout,allant de petits voyoux jusqu'à richissimes marchandsbourgeois vivant dans un luxe insolent.Le vicomte se promenait le long du port,dans sa promenade,il vit dans un recoin un jeune enfant pleurant sur un cadavre,et à en jugé l'etat cet homme avait était transpercer par une lame,tout en s'approchant de l'enfant le vicomte lui dit:

"-Sa suffit,ne regarde pas sa enfin."

l'enfant de son côté fit le maximun pour se débattre de l'étreinte du vicomte.

"-Assez!Ne te laisse pas dominé par tes émotions petit! Regarde moi! Tu sais qui je suis?"

L'enfant remua alors la tante faisait comprendre qu'il connaissait le vicomte,et petit à petit l'enfant repprenait son calme.

"-Un jour viendra où je te demanderais un service,mais se jour n'arrivera peut-être pas,en attendant suis moi petit,j'ai du travail pour toi."

Malgré sa méchancesté et sa malveillance naturel dans le domaine des affaires,le vicomte ne supportait pas de voir de jeune enfants pleurant la mort de leur parent,le sens de la famille était une chose sacrée pour le vicomte,il ne pouvait laissé cet enfant dans un tel etat,quitte à en faire un futur homme de main à son service.

La jeune femme se rendait pour la dernière fois avant longtemps dans cette petite bourgade. Elle cherchait plusieurs choses, passant du vêtement chaud et de la cape à des provisions pour le voyage. Car Versailles n'était pas tout près.
Se rendant donc dans plusieurs échoppes elle réussit à marchander un peu. Bien qu'elle soit une femme et qu'à cette époque on ne puisse pas dire qu'elles tenaient le beau rôle, Talhi avait toujours réussi par des sourires et ses mots justes à enchanter les gens, sa bonne humeur et sa fraicheur avait plu aux paysans, elle défendait leur droit et vie et tous la respectait pour cela. Bien que ce temps soit loin aujourd'hui, beaucoup la reconnaissait encore et était heureux de pouvoir l'aider.
Sortant donc dans la ruelle du port avec une nouvelle cape plus légère et moins couteuse que la précédente, d'un gris terne passe partout, c'est avec joie et entrain que la jeune femme respira les dernières odeurs iodées de la mer.

Il y eu une agitation sur les quais,en effet une frégate fit son entrée dans le port,mais ce ne fut pas la préocupation principal du vicomte toujours accompagnait de l'enfant qui suivait ses traces timidement,il vit aussi une personne cachant son visage avec une cape qui semblait respirait l'odeur de la mer.

"-Eh bien on trouve vraiment de tout dans les ports,des racailles ressemblant trait pour trait à des pirates,des espèces d'ermite emitouflait dans leur cape grisatre,mais où va donc la France.L'arrivé de ce pirate peut m'être utile à près tout,le pillage et un fait qui rapporte,un échange de marchandise dans de bon proccéder."

Le petit garçon lui continuait de scrutait l'horizon,quand au vicomte il réfléchissait de nouveau à un éventuel investisment dans la piraterie,ce n'était pas une si mauvaise idée,les pirates peuvent-êtres aussi bien profitable et à la fois désagréable en même temps.Puis il retourna son attention vers l'ermite grisate,et en faisant un peu plus attention aux détaille tel que le buste il aperçu deux poitrines anormal pour un homme et sa conclusion en vient qu'il s'agissait surement d'une femme.

"-Serait-ce possible? Petit voila ton premier travail ce n'est pas grand chose,je veux que tu court à toute vitesse vers cette personne avec la cape grise et que tu trébuche juste devant elle de sorte qu'elle découvre son visage,tu aura un morceau de viande et de pain si tu réussi."

Et le petit garçon s'y appliquait sans savoir pourquoi,peut-etre la faim et la récompense d'un morceau de viande et de pain,avait prit le dessus sur son cerveau.Et tout en gardant un oeil sur le débarquement du pirate,le vicomte quand à lui se prépara à dévisageait cette femme en cape.

La jeune femme venait d'apercevoir l'arrivée d'une frégate et s'approchait du port, comme toute la foule d'ailleurs lorsqu'un petit garçon tomba ses pieds. Talhi se baissa alors pour aider ce malheureux à se relever et bien sûr, son capuchon tomba en arrière, révélant ses traits. Elle ne se cachait pas après tout. Le garçon eut une réaction étrange, après l'avoir remercié il repartit vers un groupe un peu plus éloigné.
La jeune femme le suivit des yeux et son regard s'arrêta directement sur un homme de stature moyenne qui la fixait...le vicomte.
Talhi eut une moue dédaigneuse et fila en direction du port, se mélant à la populace, trop compacte pour y chercher qui que ce soit.

Se sachant hors d'atteinte la jeune femme se glissa entre les badauds pour admirer l'énorme bâtiment amarré au port. Un trois mâts d'après ce que Yann lui avait vaguement expliqué. Ses voilures étaient impressionantes et Talhi se laissa aller à sa contemplation.

Raphael regarda de loin ses trois vaisseaux, il était heureux de voir que le Night Shadow attiré le plus gros de l'attention, son déhargement était casiment terminé et il ne restait plus que les tonneau de sucre a décharger donc moins de risque de vol que pour les deux autres vaisseaux plein de produit luxueux.

Ce qui le rendait le plus heureux ce n'était pas cette acceuil fort particulier mais ce qu'il signifiait :

Les Sorels étaient de retour.

Dans la foule il remarqua que parmit toute l'agitation quelqu'un restait plutot calme essayant de ne pas etre trop secoué. Cela lui parut étrange surtout que cet personne porté une cape grise qui lui était familière.

" Impossible ! Il n'ont pas put savoir que je suis ici ! " pensa t-il abasourdit

Il ce dirigea vers cette personne encapuchonné, la main sur la garde de son épée de peur que cet personne ne soit ce qu'il pensait, un de ces foutus mercenaires qui avait était engagé dit-on par le tuteur du roi actuel et qui pourchassaient sa famille.

Donogan resta en retrait s'attendant a ce qu'une nouvelle fois son ami et capitaine ne fasse démonstration de ses talents d'épèiste.

Il posa sa main sur l'épaule du mystérieux personnage et fut surpris de sentir une épaule qui n'était pas rude comme celle d'un mercenaire endurci bien au contraire. Il en fut si surprit qu'il lancha l'épaule et eu un mouvement de recul qui manqua de peu de le faire tombé a la renverse.
Elle se retourna :

C'était une femme.

Le pirate était sorti et semblait etre content de lui,le pirate remarqua aussi Talhi,mais la raison était inconnu aux yeux du vicomte,lui était tout fier de la mission accomplie par le petit garçon qui démasqua Talhi et qui ne tarda pas à se réfugié jusqu'à devenir hors d'atteinte pour son champ de vison,et le pirate qu'en à lui semblait l'avoir suivie.

"-Bien,on ne pas dire qu'il n'y à jammais d'ambiance dans un port,mais il suffit de se remu ménage,l'heure et venu de venir à se pourquoi nous sommes venus,je vais avoir besoin de quelques matériaux pour la poterie,tu aime la poterie petit?

Et pour la première fois depuis son ascension le vicomte fit ses affaires honnêtements en payant le marchand,ce n'était pas que le vicomte se risquait à devenir quelqu'un de bien,mais juste que parfois payés pour un service et nettement plus profitable,et le vicomte reparti alors pour la ville.

Emerveillée, la jeune femme sursauta lorsqu'une main se posa sur son épaule, elle crut tout de suite que le vicomte l'avait retrouvé et recula. Amusant de remarquer que chacun ayant fait pas mal de pas en arrière, ils se retrouvaient tout deux à bonne distance l'un de l'autre. Talhi fut à moitié soulagée lorsque l'homme qu'elle vit devant elle ne ressemblait pas du tout au vicomte.
La jeune femme baissa son capuchon et prit un air à la fois surpris et amusé:

- Je crois bien que nous nous sommes trompés tout deux.

Talhi regarda les alentours, son ancien employeur ne semblait plus ici et elle soupira de soulagement.

- Je crois bien que nous nous sommes trompés tout deux.

Raphael fut soulager de constater qu'il ne sagissait pas d'un mercenaire du moins pas a ce qu'il semblait pensa t-il, tant de chose lui était arrivé dans les Caraibes.

" Ce n'est pas ce a quoi je m'attendais. c'est une chose heureuse je ne désir pas repéndre le sang, pas ici. "

Il regarda la jeune femme et ses yeux exprimant une grande douceur mais qui était aussi un mirroir sur la passion qu'elle habitait le ramena a la réalité, il se senti géné par son attitude qu'il trouva déplacé. Il voulu tentai de rattraper le coup et ce faire excuser.

"Je . . . Je vous prit de me pardonner damoiselle mon comportement est déplacé, j'ai crut que . . . j'ai crut une chose ridicule. "

Un homme d'équipage descendit du navire il transportait un énorme tonneau vut la marque imposé sur ce dernier il s'agissait d'un tonneau de sucre.
L'homme avait un perroquet ara bleu et jaune sur l'épaule ce dernier eu un frisson, le matelot dit :

" Raphael je croit que c'est le dernier tonneau. Il ne reste plus que de la viande boucané a bord et des pommes "

" Des pommes ! Des pommes ! Des pommes ! " repéta le pérroquet en hurlant.

Raphael vit autour de Mathius le second du tonnelier et son perroquet la foule suprise entre l'emmerveillement et la stupeur Raphael en sourit.

" Merci Mathius. prend ton quart une fois que t'a déposé ca, profite en pour donner a ton superieur ce qui lui revient. et voila ta part. "
Raphael lui jeta deux bourse, l'une après l'autre, Mathius les pesa en souriant et après les avoir misent a l'abri remercia Raphael
et parti avec le tonneau.

Il ne l'avait pas salué comme son capitaine et il en était heureux il n'aurait pas voulut que la jeune femme réagissent selon les habituel cliché et que le faite de le savoir capitaine ne la fassent agir par cupidité ou un quelconque intéret, bien qu'elle avait l'air d'etre honnete. Elle ne le prendrai que pour un simple matelot ou bien un officier ce qui était préférable.

Il tendit la main a la jeune femme en la saluant aimablement et simplement une attitude qu'il adopté lorsqu'il se sentais en tort.

" Puis-je vous inviter a bord du Night Shadow si je peux me le permettre. "

Il avait compris en l'observant tout a l'heure que le Night Shadow l'interessait, c'était bien la seul chose qu'il avait compris se dit-il

Le voyage depuis Paris avait était éprouvant pour le vicomte, voyager uniquement de nuit à cause des espions, il n’était pas vraiment habituait à se genre de déplacement, accompagnait d’une douzaine de voleurs ainsi que de Diane ils arrivèrent en territoire ennemie, celui du Désarik, Puis le vicomte se retourna vers Diane d’un air sérieux.

« Nous voici en territoire ennemie chère amie à vous d’agir et de trouver le fils du Désarik, il traine souvent dans les tripots commencer par là en cas de soucie mes voleurs interviendront aussi vite que possible. Prenez le temps qu’il vous faudra, quand à nous nous camperons dans un sous-sol du port, nous avons des associés dans cette région forte heureusement pour nous. »

Le vicomte n'avait aucune idée si Diane allait survivre ou non, les cartes étaient dans ses mains à présent.

[je veux bien mais je n'arrive pas à supprimer mon propre texte]

Elle se rapprocha un peu de l'homme, car la foule se moquait bien des convenances et allait et venait entre eux, l'empêchant de saisir cette expression étrange qu'il avait eu. Une sorte de soulagement, presque autant que le sien lorsqu'elle l'avait découvert. Stupide, à moins que lui soit également recherché...
Talhi fut surprise par les paroles de son interlocuteur, finallement, il ne devait pas être si blanc que cela. "répendre le sang" est-ce bien ce qu'il avait dit? Ou était-ce toute cette foule autour d'elle qui avait déformé ses mots. La jeune femme eut un frisson malsain, pourquoi était-elle si encline aux problèmes?
Elle se reprit soudain, une pauvre paysanne en train de réfléchir intensément passait plutôt mal. Et Talhi ne souhaitait pas plus que cela être démasquée. Mieux valait jouer la femme idiote et sotte.

- Ce n'est pas grave, voyons, habillée de cette façon est tellement peu saillant à une jeune femme que je vous pardonne de votre méprise.

La jeune femme se mordit les lèvres, elle venait de commettre une deuxième erreur en parlant ainsi. Se taire était alors la meilleure des solutions, et c'est celle qu'adopta Talhi de suite. Un matelot hissa le dernier tonneau sur la berge et s'avança vers le jeune homme. Talhi fut si émerveillée par l'oiseau qui se tenait sur son épaule, qu'elle en oublia totalement d'écouter l'échange entre les deux hommes. Le volatile était un suptile mélange de couleurs exotiques, vives et attrayantes, la jeune femme remarqua bien vite qu'elle n'était pas à la seule à l'observer. Mais elle surprit sur les visages des autres femmes une certaine peur, elles se signaient rapidement, s'écartant de l'animal comme de la peste. La jeune femme haussa les épaules avant d'intercepter les dernières bribes de paroles lors de l'échange entre les deux...matelots, ainsi l'homme qu'elle avait devant elle était un de ces fameux voyageur des mers. Talhi ne connaissait qu'un matelot personnellement, le fiancé de sa meilleure amie. Elle se rappelait les récits qu'Angélique avait fait de son voyage de noce, l'emprunte du vent sur le visage, la sauvagerie des flots remplaçant son infinie douceur. Ces océans la menaient vers un regard en particulier, vaporeux, instable, et absent...
Talhi réprima un soupir de tristesse mais le jeune homme s'adressait de nouveau à elle. Talhi aurait aimé renvoyé un sourire en coin en sous-entendant son titre de matelot ommis, mais une profonde tristesse l'avait prise et son passé la rattrapait...toujours. Le temps aussi, qui filait sans cesse.
La jeune femme allait s'en retourner, tel le papillon changeant qu'elle était. Mais la phrase de l'homme l'immobilisa, nette. Immobile, son regard dériva lentement vers les voilures crèmeuses du fier navire, vers les lignes courbes et gracieuses, comme le corps d'une femme, et l'impression de puissance et de majesté devant ces traits. Oubliant toute méfiance, elle eut un sourire trop intelligent pour une simple paysanne, un sourire illuminé par les livres épluchés sur le sujet, par la liberté que pouvait lui offrir cette simple découverte.
Ses yeux pétillèrent de malice et elle glissa ses mains derrière son dos, penchant doucement la tête sur le côté, indécise:

- Pourquoi vous, simple matelot, auriez-vous le droit de faire monter une femme comme moi, simple paysanne de bas rang, sur un navire aussi réputé que le Night Shadow?

La question que venu de lui posé la jeune femme le géna quelque peu. Non pas parce qu'il ne s'y attendai pas mais parce qu'il n'avait rien prevu a répondre a cela. Sa demande avait été tout a fait spontané comme a son habitude et il songa alors que son attitude cavalière l'avait peut-etre trahi il decida donc de risquer une révélation pas tout a fait fausse :

" Je - J'ai en fait quelques . . . petites responsablité a bord du Nighty, euh je veux dire " il toussa, qu'est ce qui lui arrivé donc l'air du continent ne lui réussissait peut-etre plus trop ou peut-etre que la tension ayant chuté qu'il devenait moins prudent " à bord du Night Shadow "
Il fit une pause qui était comme toujours le seul a remarqué pour trouver quel poste lui donné suffisament de responsabilité pour inviter quelqu'un a bord puis il prefera y renoncer et fini par dire :

" Et puis vous n'avais pas grand chose a craindre, si problème il ya j'en prend toute la responsabilité quel qu'il soit et puis le Capitaine est un homme qui aime sont batiment s'il vous voit a bord il vous fera surment visiter "

L'attitude de la jeune paysanne lui avait parut contradictoire, pour avoir put avoir affaires aux Caraïbes a toute sorte de classe social il avait compris des les premier mot que cette jeune femme était peut-etre bien une paysanne mais quoi qu'il en fut qu'elle n'était pas ordinaire. Peut lui importer en réalité mais il se demandé bien qu'est-ce qu'elle pouvais vouloir cacher ou de qui voire de quoi .
Il ne sentait pas encore assez engaillardi pour quitter son Night Shadow et espéré fortement que cette mystérieuse femme accepte son invitation de plus il était possible vut son attitude quand l'aidant, si elle acceptait de lui parler, qu'il puissent résoudre ses propre probleme
Durant tout ce temps sa main était restait tendu vers elle

Le matelot bafouilla ce qui ne fit qu'élargir un peu plus le sourire de Talhi. Le mystérieux reprenait sa place dans sa vie, tout comme sa curiosité d'ailleurs. Elle s'était laissée aller à la vie monotone de la Cour, cette façon si claire et précise, ûne manière de vivre dont la richesse avait écarté tout hasard.
Son regard vola de nouveau vers le navire puis vers la main que lui tendait le jeune homme. Elle y posa une main prudente mais résolue et se laissa entrainer vers l'imposant batiment.
Avant que la foule ne les engloutisse elle chuchota doucement:

- J'ai hate de rencontrer ce fameux Capitaine.

Les gens les regardaient à peine, vaquant à leurs occupations comme on se résouent à la vie. Talhi porta un bref regard aux alentours mais le vicomte semblait l'avoir quitter. Elle relacha un peu sa tension et fit glisser sa cape, la prenant à la main. Sa robe plus féminine que son vieux manteau, enserrait ses hanches tout en la laissant plus libre au niveau du buste. Ses boucles brunes encadrèrent aussitôt son visage et elle se surpris à sourire de nouveau.

Raphael remarqua avec le sourire qui se dessinait sur le visage de, celle qui le perturbait, qu'elle avait plus ou moins comprit qu'il était géné. Et qu'il pouvait peut-etre bien ne pas tout lui dire mais ce sourire était réconfortant surtout lorsqu'elle lui prit doucement la main visiblement reservé mais, comme ses mots et son apparences, le toucher de sa main et ca poigne délicate mais ferme était contradictoire.
Le jeune Capitaine soudain devenu simple matelot ne s'y attarda pas plus il espérait avoir trouver quelqu'un a qui parlé et il se dirigèrent vers le vaisseau. La jeune femme enleva sa cape ne ce cachant plus il put ainsi voir ces beaux cheveux brun apprécié le sourire qu'ils encadré : " elle a l'air vraiment spécial bien que je ne sache pas en quoi " pensa-t-il
Elle avait semblé chercher quelques chose mais visiblement elle était plus détendu aprésent, Raphael pensa qu'il devrait lui en parler. Quoi qu'il en fut ils était aprésent sur le pont et une bonne cinquantaine de ces matelots fetait le gain de leur part de butin.

Il chantaient une chanson de pirate qui faisait assez cliché et que l'on chantait aux enfant pour leur faire comprendre que les pirates sont des brutes sans le sou . . .
Ils dansaient au son des violons et des acordéons fait maison une guitare espagnol lancait des notes accompagnant une flute traversière, celle de son viel ami le maitre de voile.
Il sourit et batit la mesure avant de se rendre compte que cela pouvais preter a confusion.
il voulut dire quelque chose mais il avait trop envie de danser et il lui tendi une nouvelle fois la main. c'était incroyable a quel point il aimait cette musique elle lui donnait l'impression d'etre encore un pleine mer a la recherche de son oncle, sentir cette exaltation qu'il ressentait que lorsqu'il avait l'impression de ne faire qu'un avec le vent dansant avec les dauphin carressa la coque du vaisseau.
Il s'inclina délicatement, bien que dans son geste l'on puisse sentir que ce n'était nullement de la forme ou du protocole juste son esprit joueur que cette jeune femme et la mélodie avait réveillé :
" si ma démarche n'apparait pas trop déplacé " dit-il en relevant la tete ces cheveux porté par le vent et illuminé par le soleil masquant en partie son visage ne laissant visible qu'un seul de ses yeux impétueux tels le grand large.

La jeune femme monta vers le navire comme l'on gravit une colline, guettant déjà le paysage qui poindrait à l'horizon. A peine arrivée sur le ponton que des voix chaudes et graves emplirent son esprit de mille et un chants de pirates. Talhi n'en avait jamais eu peur, comment l'aurait-elle pu, elle qui ne croyait que ce qu'elle voyait, méprisant les racontards et ragots que pouvaient bien minauder toutes les vieilles femmes du marché.
La découverte du monde était aussi le fait de vouloir se faire un point de vue sur chaque chose, et pas celui qu'on voulait lui imposer. La liberté qu'elle s'exigeait avait parfois des limites, où l'entrainait ce besoin avide d'indépendance?
Elle posa ses bras sur la rambarde, comme une femme à sa fenêtre observe le tumulte du marché. Mais que la vue avait bien changé, le bourdonnement de la place avait diminué, les aller et venue se faisaient plus rares, l'heure avençait, la soirée aussi.
La brise emprisonna l'iode marine et fit courrir ses doigts légers sur la chevelure ténébreuse de la demoiselle, impregnant sa nuque et sa gorge de ce parfum douceureux. Elle se retourna, plaquant son dos contre le bois lisse et verni. Plusieurs matelots la regardaient, et Talhi eut un léger frisson, mais dès qu'ils apercevèrent le jeune homme qui l'accompagnèrent ils retournèrent à leurs chants comme si...le regard de la jeune femme virevolta des matelots au jeune homme, puis finit par l'encrer dans ceux de son guide, aussi noir que l'encre d'un écrivain, profond comme un gouffre sans fin. Cela aurait pu durer des heures que Talhi ne s'en serait pas aperçu, mais elle ota le poids de son regard du jeune homme et le laissa vague, et indécis. Il parcourut les nervures du bois, suivant ses courbes naturelles que l'homme n'avait pu guider à sa façon. Il s'éleva alors jusqu'à la hune, tout en haut du mat, quel vue pouvait bien offrir cette plate forme? La curiosité la reprenait et Talhi se sentit de nouveau rêveuse.
Une main ferme et douce la tira soudainement de ses pensées, et la jeune femme leva de nouveau son regard sur le matelot, ses yeux étaient animés par la flamme des flots, et Talh se surprit à sourire. Elle glissa sa main dans la sienne et retira ses souliers, sentant sur sa peau, le toucher rugueux et doux à la fois du bois. Prenant le bas de sa robe d'une main elle se laissa entrainer par la musique qui l'envoutait déjà et son mystérieux cavalier.